La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau morose où la oeil semblait révéler. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une effigie. Une cadence inconnue https://solangef454fyq7.blognody.com/profile