Le soleil s’écrasait sur les perles naturelles brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient aux environs de la carcasse rouillée d’une ancienne cabine téléphonique. Posée seule au commencement d’une voie oubliée, elle ne figurait sur zéro carte officielle. Pourtant, n'importe quel dimanche à midi, https://andresvyacd.blogozz.com/33040572/la-cabine-du-septième-jour