La gare était plongée dans une brume dense, un étoffe épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait constant, observant l’immense machine d’acier perdre qui sifflait lentement, prête à https://ricardoqdnve.blogzet.com/l-oracle-du-train-cerveau-48691950