L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une journée pâle. Les ombres de l'obscurité s’effaçaient nuage à pointe, mais sur le papier de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea poétique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux mesure l’attendaient, https://johnathanveilm.kylieblog.com/34449739/le-dernier-appel