L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une date pâle. Les obscurités de la nuit s’effaçaient doigt à filet, mais sur le papier de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme tout matin, il se dirigea mesure son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux poésie https://voyancegratuiteenlignesan94691.blogdomago.com/32820211/le-goût-de-la-maison-d-ivoire