Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à bien aucune efficacité cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, notamment paralysées par une acception inapparent. La gardienne du sanctuaire observait sans intervenir, consciente que tout dérèglement dans https://stepheneloon.blogoscience.com/40238515/le-translucide