Les spores du Namtar flottaient en permanence dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de date et de brouillard. Invisibles à l’œil nu, elles dessinaient des schémas complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de ce que les respiraient. Dans un extrémité précis, autour de certaines clairières, la https://josuekwchk.tusblogos.com/34349013/la-laie-des-premiers-souffles